• "Fleur de soufre" (2000) , la suite de "Ruines".
    "Dans Fleur de soufre, Jean et Véronique Calmet enquêtent sur des meurtres mystérieux dans l'île d'Oléron. Cette fois, ils se trouveront aux prises avec Lilith et la vampires." Jean Marigny in "Dictionnaire des littératures vampiriques" (2020)
    "Un roman original, qui met en résonance les plus récentes théories sur les OGM – les organismes génétiquement modifiés – avec nos plus ténébreuses légendes…" L’année de la fiction 1999-2000 (volume 11) Jean Claude Alizet
    Le cycle Jean Calmet :

    Fleur de soufre : 2e roman du cycle Jean Calmet

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  • Mon roman : "RUINES" (1998, ici nouvelle édition 2004)
    Ce roman a initié le cycle "Jean Calmet détective de l'étrange" :
    "Le protagoniste est à la recherche du patient , mystérieusement disparu, d'un ami psychiatre . En poursuivant cette enquête, il découvre l'amour sous les traits de Véronique qu'il épousera, ainsi que l'existence d'un monde parallèle peuplé de vampires qui veulent envahir le monde." Jean Marigny, in "Dictionnaire des littératures vampiriques" (2020)
    À suivre... Le cycle complet : un roman par jour !

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  • https://www.sfmag.net/sfm/reve.htm
    Howard Phillips Lovecraft expliquait qu’il s’inspirait de ses rêves pour écrire ses fictions littéraires. Il est des rêves, écrit-il dans Par-delà le mur du sommeil, « dont le caractère irréel ne permet aucune interprétation banale, dont l’effet impressionnant et un peu inquiétant suggère la possibilité de brefs aperçus d’une sphère d’existence mentale tout aussi importante que la vie physique et pourtant séparée d’elle par une barrière presque infranchissable. » La littérature (les œuvres de H.P. Lovecraft en témoignent, mais bien d’autres aussi…) permet de jeter un pont entre ces deux réalités, pas sans apporter la vision terrifiante de cet « au-delà » que représente le rêve… Certains utilisent des moyens artificiels pour parvenir à ce « Nirvana » ; le cinéma, lui, en est l’essence même ! Ainsi cet ouvrage d’Alain Pelosato (le vingt-sixième de cette collection de taxinomie du cinéma fantastique) permet au lecteur de découvrir comment le cinéma lui permet d’accéder au monde des rêves. (La citation de Lovecraft est extraite de l’ouvrage : « Les meilleures nouvelles de H.P. Lovecraft »)

    Rêves, cauchemars et hallucinations dans le cinéma fantastique

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  • Il vient de sortir :
    https://www.amazon.fr/dp/2915512604
    Ce livre regroupe les films fantastiques dans lesquels la Mort constitue un personnage agissant, autonome, même si elle n’apparaît pas en tant que telle, mais au travers de créatures qui exercent son art, celui de tuer avec les moyens les plus divers. La Mort fait partie de la vie, il est inutile de se cacher son existence…
    L’auteur ne reprend pas ici les films de fantômes, de vampires et de zombies qui font l’objet d’un autre de ses livres, « Zombies, vampires et autres revenants… », dont le titre est explicite du fait que cet ouvrage rassemble les films dans lesquels les morts reviennent à la vie, ou à une certaine vie. Il en est de même pour les poupées sadiques et autres artefacts de la Mort qui font également l’objet d’autres de ses publications…. Ici, le personnage principal ce n’est pas le mort (vivant ou non…), mais la Mort elle-même… Les chroniques présentées ont toutes été rédigées au moment de la vision du film, sachant que le travail de l’auteur sur le cinéma fantastique a commencé en décembre 1995…
    Représentations de la Mort dans le cinéma fantastique
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  • 24 livres de taxinomie du cinéma fantastique :
    15 romans lovecraftiens : la série Jean Calmet par Pierre Dagon et Alain Pelosato : https://www.sfmag.net/spip.php?article13841

    24 livres de taxinomie et 15 romans lovecraftiens


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